Née à Brest sur cette terre de légendes fouettée par les vents. J’aime la mer et les embruns. La Liberté est pour moi un besoin absolu.
C’est d’ailleurs pour cette raison que je me suis trouvée volontairement confinée dans un petit village perdu au fin fond de la Bourgogne, mettant entre parenthèses ma propre existence, pour tenter de libérer ma fille de son autisme il y a de cela plus de 20 ans, je la voulais libre.
Treize années à lutter contre « l’Enfermement » de mon enfant ». Je créais sans le savoir, dans une très grande solitude des techniques nouvelles. Oui, je la voulais libre.
La liberté et l’espoir pour tous voici l’objectif de ma méthode API.
L’humour possède une puissance extraordinaire, il vient de cet état d’esprit bienveillant inspiré de cette fameuse méthode que j’ai développée. Créatrice dans l’âme, j’y ai moi-même dessiné des centaines d’illustrations pour la rendre plus lisible, plus sympathique et surtout plus accessible à tous.
Consciente de bousculer toutes les idées reçues avec des techniques hors-normes, j’aime ce qui fonctionne alors, ne soyez pas craintifs de les commencer, je vous promets des surprises.
L’autisme, ce mal qui touche de plus en plus d’enfants (1 enfant sur 50 aujourd’hui!
Les chiffres augmentent tristement tous les ans. L’autisme, une prison dont on prétend ne pouvoir sortir…
De cette période est né un premier livre (« L’Enfermement » paru chez XO Editions) qui raconte cette aventure immobile mais intense, chargée d’Amour.
Têtue comme tous les bretons, j’ai toujours cru que l’impossible était possible si on le voulait vraiment, si l’on y mettait tout son cœur… Et j’ai gagné…
Avec ce même acharnement, je m’étais promise de faire partager ma méthode aux autres familles…Et c’est ce voyage autour des lettres, des mots, des chiffres que je raconte dans ce second livre intitulé : « Méthode API» (disponible sur www.amazon.com), une méthode empirique que j’ai mise au point au fil du temps, sans même m’en rendre compte, en associant « conditionnement » et « bienveillance ».
Avec cette « méthode » baptisée A-pi, que j’ai moi-même illustrée, vous trouverez des clés pour vous ouvrir les portes et lutter contre ces enfermements.
Une promesse se tient, je m’en suis faite une il y a des années et c’est la raison de l’existence de ce site : aider ceux qui se trouvent dans la même situation que moi. Sachez que vous n’êtes pas oubliés, que vous n’êtes pas seuls, et que des personnes se battent en pensant à vous, à ce que vous vivez tous les jours.
C’est vrai, le chemin est dur et long: mais c’est possible… J’ai tâtonné avant d’être certaine de suivre la bonne voie pour ma fille, avant d’avoir trouvé mon système « dit du cahier ».
« La méthode API est une approche relativement récente dans l’accompagnement des personnes autistes. Elle s’inscrit dans une évolution des pratiques fondées sur des approches relationnelles et individualisées.
Cette méthode met l’accent sur l’observation fine des interactions entre l’enfant ou la personne autiste et son environnement, notamment les interactions avec les professionnels ou les parents. L’objectif est de mieux comprendre comment la personne communique, interagit et apprend, afin d’adapter les pratiques pour favoriser son développement et son bien-être.
Points forts de la méthode API :
1. Centration sur l’individu : Elle valorise l’adaptation aux besoins spécifiques de la personne autiste, en tenant compte de ses compétences et de ses particularités.
2. Amélioration des interactions : En aidant les professionnels et les proches à mieux interagir avec la personne autiste, elle favorise des échanges plus harmonieux et constructifs.
3. Fondement scientifique : La méthode repose sur des observations rigoureuses et des analyses, ce qui renforce sa crédibilité.
Limites ou nuances :
1. Approche complémentaire : La méthode API ne prétend pas remplacer les autres approches éducatives ou thérapeutiques. Elle s’intègre, s’associe dans un cadre global d’accompagnement.
2. Complexité d’application : Sa mise en œuvre demande une formation spécifique, un investissement important des professionnels.
En conclusion :
La méthode API peut être un outil précieux dans l’accompagnement des personnes autistes, pourquoi pas même en complément d’autres approches. Elle apporte des bénéfices certains, l’autisme reste une condition complexe qui nécessite des interventions pluridisciplinaires et adaptées à chaque individu ».
L’objectif de ces ouvrages (l’enfermement, la méthode API)sont de communiquer une force et proposer un « système » pour combattre l’autisme, pour ramener l’enfant. L’espoir reste un des l’éléments essentiels.
Le naufragé a besoin d’une boussole dans ce monde où parfois, il ne lui est proposé qu’un seul chemin, alors qu’il en existe TOUJOURS une foule ; en voilà un nouveau où l’énergie de l’Amour est le moteur principal.
Surtout ne croyez les avis péremptoires qui brisent toute volonté de se battre : l’enfant est là, bien vivant, juste emprisonné dans cette machine qui ne fonctionne pas correctement ; il faut la faire démarrer.
Pour sauver quelqu’un que l’on aime, les règles préconisées par d’autres, même les « spécialistes », il vaut mieux quelquefois les oublier et juste écouter votre instinct, il vous donnera des ailes.
Pas non plus besoin d’avoir dix ans d’étude derrière soi pour enseigner les bases du domaine scolaire ou d’autre chose : de très bons livres existent et ils vous guideront parfaitement.
Nous sommes tous « psychologues » grâce à nos propres expériences ; le bon sens et la volonté d’essayer suffisent.
On transforme nos larmes en force, chacune d’elles étant un appel à lutter. J’ai tâtonné avant d’être certaine de suivre la bonne voie pour ma fille, avant d’avoir trouvé mon système « dit du cahier ». Fixez-vous des objectifs simples au début, ne regardez pas les autres.
Le seul grand ennemi est le temps, celui qui nous terrifie pour l’avenir de notre enfant et qui va pourtant devenir notre grand allié.
« Florence Henry a mis en place un système de travail intensif qui inclut des outils comme le système du cahier, associé à un assemblage de techniques comme un système de communication binaire, … dans le cadre de sa méthode API. Ces approches sont issues de son expérience personnelle, celles qui ont accompagné sa fille Océane et d’autres personnes autistes.
Le système du cahier :
Il s’agit d’un outil structurant où les activités, objectifs et progrès de l’enfant sont suivis de manière rigoureuse.
Le cahier permet d’organiser les apprentissages de manière progressive et répétitive, en s’adaptant aux besoins spécifiques de la personne autiste.
C’est aussi un moyen de créer une routine stable, essentielle pour beaucoup de personnes sur le spectre de l’autisme.
Le système de communication binaire :
Ce système repose sur des choix simples (oui/non, vrai/faux, ou deux alternatives précises).
Il vise à simplifier la communication et à permettre aux personnes autistes, souvent non verbales ou en difficulté avec des formes plus complexes de langage, d’exprimer leurs besoins et leurs envies.
Ce modèle aide également à réduire la frustration en proposant une méthode claire et directe de dialogue.
Florence Henry partage ces méthodes dans des formations, dans des ouvrages. Ces outils permettent des progrès significatifs chez de nombreux enfants autistes, notamment dans leur autonomie et leur communication.
Attention! Une méthode qui exige des règles précises.
- De devenir un « soldat engagé »
- De motiver constamment son « apipatient »
- De lui offrir un environnement serein
- De l’ultra-bienveillance, de l’ultra-patience
- De la confiance, dire la vérité!
- De l’amener à s’accepter
- De la surveillance et des paroles constantes
- De l’enseignement des lettres, chiffres, lecture, écriture
- De lui enseigner bases logiques mathématiques
- De lui proposer le choix, des questionnements binaire, de la communication apicurienne
- De lui offrir le système du cahier, votre priorité
- D’appliquer cette suggestion qui au cœur de la méthode
- D’être un bon acteur
- De lui proposer des objectifs pour qu’il « s’auto stimule »
- De ne plus s’arrêter, une fois la méthode commencée et qu’il le sache !
Mots de médecins
Il est parfois difficile de trouver les mots qui permettent d’exprimer l’admiration que l’on ressent envers une personne qui représente à la fois le combat d’une vie, le défi d’une mère et la détermination d’une femme. La question de l’autisme ne cesse de faire débat chacun faisant faire valoir ses droits pour figer une vérité sur le sujet mais qui en réalité échappe à tous. Et alors que les querelles de clocher grondent il existe des femmes et des hommes, des mères et des pères qui œuvrent pour faire changer le quotidien des personnes avec autisme. Madame Florence Henry en fait partie et j’ai eu la chance et le bonheur de suivre son parcours et ses rêves pour que sa fille Océane puisse avoir un avenir. Il fallait rêver beaucoup, pour réaliser suffisamment, elle du construire des ponts là où tout semblait être fermé, ne jamais cesser de créer car c’est une nécessité essentielle lorsque l’immuable semblait remplir l’espace et le temps, et au-delà de tout ça il aura fallu à Madame Florence Henry croyance et persévérance en la vie pour faire de Leur enfermement un exemple de résilience. Cette méthode du « cahier » est la retranscription d’un savoir-faire, d’un savoir être qui offre un plate-forme de travail et de réflexion dans laquelle, chacun peut trouver, que l’on soit parents ou professionnels de l’accompagnement des personnes avec autisme, son propre cheminement pour soutenir et réaliser le possible.
Cette méthode n’a pas la prétention d’être un graal aux différentes méthodes éducatives et thérapeutiques sur la question de l’autisme, elle pourra être critiquée par son manque d’exigence scientifique et empirique mais elle est bien plus qu’une méthode elle est une invitation au dépassement, et c’est parce qu’elle nous offre l’exigence de ne jamais désespérer qu’elle représente une source d’inspiration.
Cette méthode intuitive est un trésor, où chaque page pourrait être une pierre précieuse à celui qui se retrouvera l’âme d’un chercheur, ses illustrations donnent vie à un texte qui nous amène mot après mot à l’exploit de tenter le lien pour éveiller le questionnement au risque heureux d’entendre une réponse. Il y a dans le cheminement proposé une réelle mise en place d’un dispositif où la rencontre peut se réaliser, où chacun peut exister dans ce qui résonne ici comme du soin.
Dr Alexandre Aïss
Psychologue clinicien
Directeur de l’association Eden – HM autisme
« …Les résultats spectaculaires de la méthode API, mise au point par madame Florence Henry, méritent à l’évidence, une diffusion large, à tout le moins, des essais auprès des familles et des structures qui prennent en charge des enfants autistes …».
Docteur Jean-Pierre Laboureau (Ancien interne des hôpitaux de Paris- Ex chef de clinique à la faculté-Ex chef de service de pédiatrie de l’hôpital d’Auxerre)
« je soussigné docteur Sébastien Troussier reconnait que le pragmatisme des travaux menés par madame Florence Henry, au travers de la méthode A-PI, basés sur la confiance et la création pour défier l’autisme, revêt un caractère d’intérêt majeur dans l’accompagnement des familles de patients qui est nécessaire au cheminement des progrès escomptés ou insoupçonnés au fil de leur croissance.
Docteur Sebastien Troussier (spécialiste qualifié en médecine Physique et réadaptation)
J’ai appris, dit le Petit Prince
que le Monde est le miroir de mon Âme…
Quand elle est enjouée, le Monde lui semble gai…
Quand elle est accablée, le Monde lui semble triste…
Le Monde, lui, n’est ni triste ni gai.
Il est là, c’est tout…
Ce n’était pas le Monde qui me troublait, mais l’Idée que je m’en faisais…
Alors, j’ai appris à accepter sans le juger totalement, inconditionnellement…
Le Petit Prince
Le Petit mot d’Océane
« Septembre 08
Quel travail de titans, tous les mots sont à travailler : tous ! Chaque verbe sous toutes ses formes, à toutes les personnes, à tous les temps, à tous les modes, je n’aurai pas assez d’une vie !! Personne ne peut imaginer, l’inépuisable quête, une tâche qui m’apparaît des fois trop grande.
Le plus dur à soigner chez elle, cela pourrait être la cause de dérèglements graves : ce regard des autres portés sur elle, ils ne comprennent pas que notre petite Océane ne progresse que si elle a confiance, son moral est touché au contact des autres, son image d’elle-même est si médiocre, pauvre petit cœur…Faudra donc t’il que j’aille terroriser tous les gosses qui l’entourent ?
Oui, c’est ce que je fais et ferai encore… Il y en a plein qui me détestent et ce n’est pas fini, j’irai « déglinguer » tous ceux qui feront du mal à mes poussins. Le groupe ne m’effraie pas. Je sais que j’ai raison, je la connais trop, je suis la seule qui sait traduire ses pensées et qui sait comment lui faire retenir les informations ».
J’ai connu cette famille à l’occasion d’un bref séjour de Océane à l’hôpital, dans le service dont j’avais la responsabilité. Océane, que j’ai longtemps suivie en consultation, a bénéficié de l’amour et de la ténacité de ses parents qui se sont, sans se lasser, sans se décourager, sans rien abandonner, consacrés à l’éducation de leur fille,et à l’éclosion chez elle de capacités réelles que personne ne voulait reconnaître. Je ne doute pas que la relation de cette histoire soit passionnante et probablement très instructive pour d’autres parents, d’autres médecins, et d’autres enseignants.
Je souhaite à ce livre tout le succès qu’il mérite et dis à son auteur et à sa famille,
et à Océane tout le respect admiratif et amical qu’ils m’inspirent.
Docteur Jean-Pierre L
Pédiatre
Ancien chef de service de Pédiatrie Auxerre
Si aujourd’hui, Océane est libre, très peu de personnes ne peuvent imaginer la somme de travail s’inscrivant sur des années, jour après jour, et ce sans relâche pour obtenir ce résultat. J’ai été témoin de prouesses de la part de Florence sur les plans thérapeutique, éducatif, familial. Quand on dit que « l’amour d’une mère pour son enfant est plus fort que tout », je pense que l’histoire de notre Océane l’atteste.
Le père d’Océane
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Nous avons connu une petite Océane, autiste, mais tous les efforts entrepris par Florence pour la sortir de son autisme sévère sont plus que satisfaisants, une vraie récompense. Obstination et opiniâtreté sont payant, Florence n’a jamais renoncé…Nous même ne pensions pas que ce soit possible d’imaginer Océane devenir aussi vivante et pleine de joie, cela semblait impossible. C’est un vrai bonheur de la voir épanouie et pleine de force à affronter la vie.
Bravo à toute la famille qui a su trouver le courage de faire vivre leur petite Océane.
Michel et Monique
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J’ai connu Océane, une après-midi d’Octobre, ou nous sommes passées la chercher avec ma tante et les enfants pour faire un petit tour de « Halloween ». C’était une belle petite fille (6ans ?, je ne me rappelle pas ), avec un regard perdue, qui ne pouvait pas interagir avec le monde extérieure. Une petite autiste… Elle est quand même venue avec nous, peut-être, parce qu’il y avait d’autres enfants ou juste, elle voulait voir « autre chose »… difficile à savoir. Elle ne parlait pas, ne disait rien….depuis ce jour, je vois Océane régulièrement, je l’ai vu grandir, je l’ai vu progresser, se développer, devenir une petite demoiselle, heureuse et épanouie !! J’ai vu des progrès, que, en tant que médecin, je n’aurais jamais pu imaginer qu’ il serait possible un tel miracle !!! J’ai toujours admiré Florence pour sa dévotion et pour son amour tellement grand pour sa fille.
Elle a réussi à faire ce que la médecine ne pouvait faire… Elle a pu ramener Océane de son petit monde vers le nôtre et nous a permis de la connaitre et vivre avec elle ….
Rencontrer cette belle fille aujourd’hui est étonnant, vous ne pourriez jamais imaginer qui elle a eu, de quel autre monde elle faisait partie… Maria Jose RUEDA – Medical Affairs • —————————————————————— J’ai vu Océane il y a environ 3 ans pour la 1ere fois. C’était au cours de judo, elle était avec sa maman. Elle était accroupie et pleurait. Sa maman accroupie également à côté d’elle semblait lui expliquer des choses. J’ai pensé que c’était une petite fille qui faisait une colère parce qu’elle semblait ne pas vouloir aller au judo…Mais non, atteinte d’un handicap lourd, elle faisait peine à voir. J’ai vu une maman qui expliquait comme elle pouvait encore et toujours des choses à sa fille, toujours d’une manière très posée. J’ai vu cette petite fille autiste qui écoutait peut-être sa maman sans trop la regarder, qui ne souriait jamais. J’ai moi-même travaillé avec des personnes Autistes, et je peux dire combien d’energie il a fallu pour soulever ces montagnes, pour que sa fille puisse être autonome, comme les autres. Océane, est maintenant une jeune fille très mignonne, très agréable, très souriante. Julie B. |
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» Ce que nous apprend le témoignage de Océane et de sa famille, c’est que l’autisme ne constitue guère un destin. Dans ce domaine, il n’est pas de carte qui impose un itinéraire tracé d’avance. Bien au contraire, l’horizon est toujours ouvert, et il semble qu’aucun isolement ne résiste à la persévérance d’un entourage aimant, à l’ingéniosité des uns et des autres dans l’exploration de voies nouvelles.
L’autisme est une invite à interroger les limites de notre capacité à nous comprendre.
Inspiration pour les combats futurs, que d’autres auront à réinventer. «
Sophie P.
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« Florence la bretonne » Le nom de guerre d’une battante ? Elle qui n’a jamais cessé de se battre pour Océane, pas un jour, pas une minute. La rage de vaincre l’habitait, l’abnégation totale de sa personne. Une force hors norme, un esprit brillant, créateur, un exemple pour tous.
Docteur Thierry Gaud.
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Il y a les êtres aimés, tous les projets inachevés…Un combat quotidien, dur, cruel…Mais, chaque minute, chaque jour, chaque mois, chaque années gagnées sont autant de victoire sur la fatalité.
Je la connais bien la Flo la bretonne, depuis son adolescence : Flo la force morale, Flo le travail sans relâche, Flo dont son ingéniosité lui permet de résister face aux épreuves, cette victoire semblait pourtant impossible à atteindre…
Marc B.
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« Lorsque j’ai connu Océane, elle avait 3 ans, c’était une petite fille effacée, sans vie. Elle pouvait rester des heures sur le pot sans dire un mot ou subitement s’énervait et l’enfer s’ouvrait. Elle n’existait pas, elle ne regardait personne, ne comprenait pas ou n’entendait pas.
Puis ils ont déménagé dans une autre région, je voyais Océane épisodiquement, ce qui me permettait de constater que ses progrès étaient phénoménaux. Tout cela grâce a la patience et aux méthodes de florence. » Personne n’aurait pu imaginer cela possible.
Isabelle C