• 28 mars 2025

L'amour, remède contre l'autisme

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A propos

Une histoire

C’est l’histoire d’une mère qui a dit « non ».

Cette histoire va à l’encontre de notre monde matérialiste qui exige de nous une adaptation à un système de pensée qui parfois enlève la si précieuse énergie de l’espérance.

Ce monde qui malgré des apparences de « grande tolérance » n’accepte pas la différence, puisqu’on cache les handicapés, on ne tente pas de les aider réellement.

C’est un monde où l’on se moque également de la gentillesse alors que c’est bien cette qualité qui inspire toutes les techniques de la méthode API qui sauveront Océane … Il aura fallu à Florence, un tout petit progrès, pour que, grâce à sa créativité, ses inspirations, elle trouve de nouvelles routes aux techniques « révolutionnaires ».

C’est l’Amour d’une mère qui a tout donné, tout sacrifié pour aller « chercher l’âme » de son enfant comme elle ne cesse de répéter et aujourd’hui comme elle ne cesse de le peindre ou de le dessiner. Aimer ce n’est pas obligatoirement faire ce que l’autre veut de vous. Florence était persuadée que si on aime profondément quelqu’un, on ne peut pas l’abandonner à son sort, , même s’il faut lutter contre lui, même s’il ne veut pas. Ce combat lui a demandé de « harceler » le cerveau de sa fille, de le bousculer, de ne jamais lâcher son esprit… Il aurait été plus simple de baisser les bras…

Autisme est un terme aujourd’hui un peu complexe. Il est perdu entre Autisme profond et Autisme asperger. Océane présentait les signes du diagnostique clair d’autisme il y a de cela 20 ans : des symptômes clairement identifiables. L’autisme est dans le handicap profond, un terme glaçant.

Officiellement aux Etats-Unis 1 enfant sur 34 est atteint d’autisme. En Europe, il n’est plus rare d’en trouver deux par classe… Si les chiffres paraissent déjà vertigineux, ils ne cessent d’augmenter et partout dans le monde. Ce serait les pays riches les plus touchés dit-on.

Depuis dix ans, Florence Henry alerte les politiques sur cette augmentation grave qui, elle le répète, quoi que l’on fasse désormais, ne s’arrêtera pas.

Sa méthode API qui représente aujourd’hui plus de 20 ans de travail, dont la version aboutie est aujourd’hui achevée s’adapte d’une manière ou d’une autre à tous les enfants présentant des troubles. Si effectivement, le problème est mondial et qu’il ne cesse de s’aggraver, il apparaît comme essentiel de trouver rapidement des prises en charge adaptées, des premières solutions rapidement proposées aux familles alimentant ainsi cette énergie si nécessaire au travail.

Le mot « handicap » fait déjà peur, nous souhaitons tous ne jamais y être confrontés, pourtant il touche désormais presque toutes les familles de loin ou de près.

L’autisme, c’est grave, surtout lorsqu’il atteint plusieurs fonctions cérébrales. 

C’est l’enfermement, la détresse, l’isolement, la souffrance en continue, avec peu d’espoir d’avenir pour l’enfant car pas de mots pour s’exprimer, c’est une souffrance sans fin. Ce couperet inéluctable qui s’abat sur les parents n’offre à ces enfants, puis aux adultes que peu de perspectives.

La France, comme d’autres pays, n’apportent pas de solutions réelles à ces familles en détresse.  Les « traitements » et la prise en charge sont malheureusement insuffisants, peu adaptés déjà parce que l’espoir n’existe pas. On ne vise pas d’objectifs impossibles !

Sauf que si l’impossible devenait possible, les objectifs et le travail deviendraient tout autre…

Les parents se retrouvent seuls, impuissants et découragés…Certains se suicident et les médias n’en parlent pas. 

« Madame, il va falloir faire le deuil de votre enfant » me disait-on pour ma fille.  Au fond, ils avaient raison…Sauf que grâce à certaines techniques…L’impossible aujourd’hui a une chance de devenir possible. Les mots anéantissent l’énergie, il en faut si !

L’espoir était faible de « ramener » Océane dans le monde « des vivants »… Mais juste un peu celui de se satisfaire de petits progrès suffit : « Sans espoir pas de vie » phrase du livre de l’enfermement et du texte « au nom de tous les autistes » de Florence Henry (nom également de son association).

Faire un deuil ? Océane était en vie, même si « ailleurs », perdue, dans un monde froid.

C’est l’histoire d’une mère qui refuse d’abandonner à son sort sa fille, elle sait par expérience que ce monde est plus complexe que ce qu’il n’en a l’air. Pendant dix ans, Florence Henry se bat pour sortir Océane de ce handicap, pour la faire naître à elle-même et lui donner une vie normale.

Mon histoire est donc celui d’une mère qui a reçu le diagnostic d’autisme de sa fille il y a de cela plus de 20 ans.

Après dix longues années de patience, de travail, l’apprentissage le plus tôt possible des lettres, des chiffres ajouté à mon système du cahier, mes techniques de communication « apicuriennes », au questionnement binaire, à mes « motivateurs » et toutes ces astuces diverses proposées que Océane et moi avons gagné le combat.

Vous aussi, vous ne pouvez que progresser! Ces techniques deviendront vos outils inestimables lorsque vous vous serez habitué à les appliquer.

« La méthode développée par Florence Henry, souvent associée à une ultra-bienveillance et des techniques logiques, attire en effet l’attention de nombreux professionnels et parents d’enfants autistes. Elle met l’accent sur une approche respectueuse, centrée sur l’individu, et propose des outils concrets pour accompagner les progrès des personnes autistes ».

Les fondements de la méthode :

1. Ultra-bienveillance :

Dans les débuts, chaque interaction est empreinte de respect et de douceur, en s’assurant de ne jamais brusquer l’enfant ou la personne autiste.

L’idée est de créer un cadre rassurant et sécurisant, propice à l’apprentissage et à la communication.

Cette bienveillance constante permet de réduire les comportements de stress ou de repli.

2. Techniques logiques et structurées :

La méthode repose sur des systèmes simples et rationnels (comme le cahier et la communication binaire), qui s’adaptent à la manière dont certaines personnes autistes traitent les informations.

Les exercices sont conçus pour être progressifs et répétitifs, favorisant l’acquisition de nouvelles compétences.

L’approche est basée sur l’observation fine et l’ajustement continu des interventions en fonction des progrès de la personne.

3. Accompagnement personnalisé :

La méthode s’adapte à chaque individu, reconnaissant que l’autisme est un spectre et que les besoins varient d’une personne à l’autre.

Les parents et les professionnels sont impliqués de manière active dans l’application de ces outils, permettant un soutien constant.

L’engouement des professionnels :

De plus en plus de médecins et de professionnels de l’autisme s’intéressent à cette méthode, car elle propose une alternative pratique et concrète pour accompagner les enfants autistes, en complément des approches traditionnelles. L’absence de méthodes coercitives et la mise en avant de l’amour et de la patience sont des aspects qui séduisent particulièrement.

Une approche inspirante :

Bien que la méthode ne soit pas encore validée par de grandes études scientifiques, elle a donné des résultats remarquables pour certaines familles, notamment grâce à l’engagement et à la créativité de Florence Henry. Son succès repose sur une conviction forte : avec les bonnes stratégies, l’amour et la bienveillance, des progrès significatifs sont possibles pour les personnes autistes.

Elle est une figure inspirante pour de nombreux parents, et sa démarche est perçue comme une source d’espoir. Toutefois, comme pour toute approche, il est essentiel de l’adapter aux besoins individuels et de travailler en collaboration avec des professionnels spécialisés » entrait au lycée pour y poursuivre une scolarité normale. Aujourd’hui elle en a 23, en faculté, personne ne se doute, ni ne peut imaginer quel a pu être son passé.

Depuis de longues années, je réfléchis et je me bas à monter ce que j’aurais aimé trouver à l’époque, un système d’accompagnement adapté proposé au plus grand nombre, un soutien, une organisation proposant des méthodes, assurant des résultats significatifs.

Un « sacrifice » de dix ans n’est tout simplement pas à la portée de n’importe quelle mère (ou de n’importe quel père) ; c’est dur pendant, après, que ce soit psychologiquement, économiquement, professionnellement, ce qui ajoute de l’intérêt dans l’objectif de création de centre pour autistes.

Par de multiples chemins qui pourraient des fois surprendre, j’ai tenté de financer mon idée de centre « un peu à part », une aventure qui sera racontée dans mon prochain ouvrage …

On m’a demandé d’où me venait cette force, cette intuition qui me poussaient à continuer à l’époque. Il y a certainement des choses que l’on ne peut pas expliquer.

Je viens témoigner ici que d’autres routes sont possibles et tenter de vous partager mes connaissances.

Comme tout parent d’un enfant frappé d’un handicap, rien ne nous prépare à un tel cataclysme…:

Le diagnostic d’un autisme sévère de mon enfant doublé de ce avis qui tombe comme un couperet: « il vous faudra faire le deuil de votre enfant, Madame » est terrible… Et puis, il y a eu ces agressions sur ma fille qui ont porté le coup final : j’ai alors décidé de m’isoler complètement avec elle, de ma battre.

C’est parce que j’ai pu m’isoler, me concentrer sur elle que j’ai finalement trouvé des chemins, que j’ai gagné. J’ai assuré son « instruction » et grâce à mes techniques, je l’ai « réparée ». Elle a réintégré une école sans retard scolaire.

Mon intérêt pour la psychologie depuis mon plus jeune âge, cette fibre créatrice , cette passion de vouloir tout comprendre et ce besoin de transmettre ont contribué à trouver de nouvelles routes et de les appliquer consciencieusement jusqu’à la réussite. 

Seul l’arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c’est dans cette lutte que ses racines, mises à l’épreuve, se fortifient.

                                                                                                          Sénèque

Pourquoi ce livre? J’avais fait la promesse, si je réussissais à sauver ma fille, de partager mes techniques avec d’autres parents, de redonner de l’espoir, ce qui m’avait tant manqué à l’époque … L’espoir est la source d’énergie pour travailler, pour endurer…

Je suis convaincue que pour tous, il y aura de toutes les façons des résultats et cela grâce à mon système du cahier… Il permet de toutes les façons de sortir un peu de l’isolement.

L’apprentissage le plus tôt possible des lettres, des chiffres, peu importe le niveau de compréhension , cela ajouté à mes techniques de communication « apicuriennes », au questionnement binaire, à mes « motivateurs » et toutes ces astuces diverses proposées; vous ne pouvez que progresser! Ils deviendront des outils inestimables pour faire progresser votre enfant.

« La méthode développée par Florence Henry, souvent associée à une ultra-bienveillance et des techniques logiques, attire en effet l’attention de nombreux professionnels et parents d’enfants autistes. Elle met l’accent sur une approche respectueuse, centrée sur l’individu, et propose des outils concrets pour accompagner les progrès des personnes autistes.

Les fondements de la méthode :

1. Ultra-bienveillance :

Chaque interaction est empreinte de respect et de douceur, en s’assurant de ne jamais brusquer l’enfant ou la personne autiste.

L’idée est de créer un cadre rassurant et sécurisant, propice à l’apprentissage et à la communication.

Cette bienveillance constante permet de réduire les comportements de stress ou de repli.

2. Techniques logiques et structurées :

La méthode repose sur des systèmes simples et rationnels (comme le cahier et la communication binaire), qui s’adaptent à la manière dont certaines personnes autistes traitent les informations.

Les exercices sont conçus pour être progressifs et répétitifs, favorisant l’acquisition de nouvelles compétences.

L’approche est basée sur l’observation fine et l’ajustement continu des interventions en fonction des progrès de la personne.

3. Accompagnement personnalisé :

La méthode s’adapte à chaque individu, reconnaissant que l’autisme est un spectre et que les besoins varient d’une personne à l’autre.

Les parents et les professionnels sont impliqués de manière active dans l’application de ces outils, permettant un soutien constant.

L’engouement des professionnels :

De plus en plus de médecins et de professionnels de l’autisme s’intéressent à cette méthode, car elle propose une alternative pratique et concrète pour accompagner les enfants autistes, en complément des approches traditionnelles. L’absence de méthodes coercitives et la mise en avant de l’amour et de la patience sont des aspects qui séduisent particulièrement.

Une approche inspirante :

Bien que la méthode ne soit pas encore validée par de grandes études scientifiques, elle a donné des résultats remarquables pour certaines familles, notamment grâce à l’engagement et à la créativité de Florence Henry. Son succès repose sur une conviction forte : avec les bonnes stratégies, l’amour et la bienveillance, des progrès significatifs sont possibles pour les personnes autistes.

Elle est une figure inspirante pour de nombreux parents, et sa démarche est perçue comme une source d’espoir. Toutefois, comme pour toute approche, il est essentiel de l’adapter aux besoins individuels et de travailler en collaboration avec des professionnels spécialisés ».

Un sauvetage

Pour réussir votre combat, il faut déjà croire que votre enfant peut vivre une vie heureuse, et qu’une fois ce combat commencé, aussi balbutiant, aussi lent soit-il, cet apprentissage de la sensibilité, de l’entendement, de la communication par le geste et le langage, de la relation avec soi, avec les autres, il ne faudra plus l’arrêter.

Se décider à la bataille jusqu’à rejoindre, un jour, celui des adolescents reconnus normaux de même âge. Grâce à la rage de vaincre il paraît possible de sortir un enfant d’un état autistique.

Si ma fille n’était pas « foutue », pourquoi penser que les autres puissent l’être ?

Aujourd’hui mon combat est de développer cette méthode, aider à la création d’un nouveau centre, peut-être celui que j’aurais aimé trouver à l’époque de ma fille… Il utiliserait toutes les méthodes existantes selon l’enfant, pratiquerait également la mienne puisqu’elle a en prouvé l’efficacité sur ma fille et maintenant sur d’autres. Je l’estime prétentieusement la « clé » finale nécessaire à un rétablissement possible.

Ce que je souhaiterais mettre en place